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Les innovations de la recherche de Lyon – Saint-Etienne dynamisent le secteur de la Santé
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Depuis sa création, les innovations en santé représentent 40% des 222 projets développés par PULSALYS à partir des innovations Deep Tech issues des laboratoires de l’Université de Lyon – et un total de près de 10 M€ investis dont près de la moitié s’inscrivent dans le champ des Biotechnologies / Pharma (Thérapeutique, Vaccins), environ 1/3 dans le champ de la E-santé (logiciels, plateformes SaaS, applications…), le reste dans les Technologies Médicales (Dispositifs Médicaux, dispositifs implantables, médicaments de thérapie innovante). En 6 ans, 38 startups ont été créées dans la santé dont le cœur d’activité repose sur une innovation 100% Deep Tech « made in Lyon – Saint-Etienne ». Depuis l’an passé, 10 startups santé ont été créées en 2019 et 2020, représentant 2,8 M€ d’investissement de la part de PULSALYS. Des startups, développant des médicaments (Gaoma Therapeutics, Mablink Bioscience, Vaxxel), des équipements médicaux (Hawkcell), des services de e-santé (Kurage, NewClin, Sibius), des médicaments de thérapie innovante (Healshape), des diagnostics et des services aux entreprises (Diagnoly, Gencovery) dans des champs médicaux aussi variés que le cancer, l’épilepsie, l’autisme, le handicap...
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Synodiag : un outil d’aide à la décision thérapeutique lors d’arthrose
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Le projet Synodiag, soutenu par PULSALYS, vise au développement d’un dispositif médical d’aide à la décision et au suivi thérapeutique de l’arthrose. La technologie porte sur une méthode de diagnostic in vitro, validée sur modèle animal (modèle canin), et permet d’intégrer l’ensemble des marqueurs de l’arthrose au cœur même de l’articulation. Ce que propose Synodiag est complètement novateur et s’inscrit dans le parcours patient car le liquide synovial est prélevé avant une injection ou lors d’arthroscopie. Le test propose une solution simple et efficace pour détecter et caractériser précocement l’arthrose, suivre son évolution chez l’Homme ou l’animal, et orienter la décision thérapeutique. Pour en savoir plus, découvrez l'interview de Caroline Boulocher, enseignant-chercheur à VetAgro Sup à l'origine du projet.
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